« i shall feed the ravens »
Penchée, en toute beauté, au bord du gouffre. Une robe de vestiges, rappel de parfums, rappel de caresses, une robe de déchirures qui pourtant sera tout ce qui restera quand la tablée se conclura.
Et que les corbeaux, rassasiés, repartiront, n'abandonnant que ce fin tissu de douleur.